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Artikel

27 Jun 2016

Autor:
Cheikhna D. Salif, Fraternité Matin (Côte d'Ivoire)

Côte d'Ivoire: Déchets toxiques: Le RENADVIDET-CI dénonce "une vaste escroquerie" qui s’organise

4000 mille victimes des déchets toxiques, déversés à Abidjan et ses alentours en août 2006, anciennement clientes du cabinet d’avocat anglais Leigh Day & Co seront indemnisées. Une décision à leur profit intervenue devant le tribunal de Londres. Le président du Réseau national pour la défense des droits des victimes des déchets toxiques de Côte d’Ivoire (Renadvidet-Ci), Charles Hanon Koffi est revenu sur cette décision...« Cette décision n’est pas définitive à partir du moment où Leigh Day & Co peut faire appel », a prévenu M. Koffi. Avant de préciser: « Cette action n’a pas été initiée contre la société Trafigura mais plutôt contre Leigh Day & Co pour faute contractuelle. »  Observant l'attitude des "recruteurs" de victimes des déchets toxiques, à l'annonce de cette décision, le Renadvidet-Ci a demandé à l’État de ‘‘mettre fin à une vaste escroquerie’’ qui s’organise...Selon lui, cette faute est justifiée par le fait que ce n’est pas une décision de justice qui a autorisé Gohourou Claude président de la Coordination nationale des victimes des déchets toxiques de Côte d’Ivoire (Cndvt-Ci) à recevoir  l’indemnisation des 29.624 victimes. « Curieusement, Leigh Day & Co sans nous avoir consultées au préalable comme l’exigeait le mandat individuel (…) quant à la supposée offre transactionnelle de 750 mille F CFA décidée par Trafigura pour notre indemnisation individuelle, Leigh Day & Co a passé un accord avec la coordination fictive de Gohourou Claude pour lui confier notre indemnisation », a-t-il expliqué. Cette situation, dira-t-il, qui engage sa responsabilité contractuelle ouvre droit non seulement au remboursement de cet argent mais également à des dommages et intérêts pour le préjudice causé par son acte.

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