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Article

25 Sep 2009

Author:
Fédération internationale des ligues des droits de l'homme, Ligue ivoirienne des droits de l’Homme, Mouvement ivoirien des droits humains

Affaire Côte d’Ivoire / déchets toxiques : L’accord intervenu à Londres entre Trafigura et près de 31 000 victimes ivoiriennes ne doit pas occulter la responsabilité de Trafigura !

Le 23 septembre 2009, un tribunal anglais a pris acte de l’accord intervenu le 20 septembre 2009 entre la société Trafigura et le cabinet Leigh Day & Co, qui représente près de 31 000 victimes ivoiriennes du déversement de déchets toxiques par le « Probo Koala », à Abidjan en août 2006. La FIDH et ses organisations membres en Côte d’Ivoire, la LIDHO et le MIDH, considèrent que cet accord à l’amiable ne doit pas permettre à la société Trafigura de s’exonérer des responsabilités qui sont les siennes au regard de la genèse et des facteurs qui ont provoqué cette catastrophe humaine, sanitaire et environnementale. La FIDH, la LIDHO et le MIDH, tout en respectant le droit et le désir des victimes d’être indemnisées des préjudices considérables subis, considèrent qu’en présence d’une décision de juridiction civile britannique entérinant simplement un accord entre parties, et en l’absence d’une décision de justice impartiale sur la responsabilité pénale de la société Trafigura, celle-ci ne peut pas se considérer blanchie par le simple fait d’avoir transigé à l’amiable avec les victimes.

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