abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb

This page is not available in English and is being displayed in French

Article

15 May 2018

Author:
Le Figaro

Lafarge en Syrie : deux ONG accusent l'entreprise de «complicité de crimes contre l'humanité»

Deux ONG ont demandé aux juges de mettre l'entreprise Lafarge en examen pour «complicité de crime contre l'humanité». La multinationale est notamment accusée d'avoir pris part entre novembre 2013 et septembre 2014 au financement de l'organisation État islamique (EI). Dans une note transmise récemment aux magistrats, les associations Sherpa et le Centre européen pour les droits constitutionnels et les droits de l'Homme (ECCHR) expliquent que Lafarge se serait rendu coupable de «complicité de crimes contre l'humanité» en finançant l'EI pour pouvoir maintenir l'activité de son usine syrienne de Jalabiya (Nord)...Pour les associations, le groupe et ses dirigeants ne pouvaient ignorer qu'ils «contribuaient» financièrement aux crimes contre l'humanité imputés à l'EI «dans la région de l'usine mais aussi dans le reste du monde», selon le communiqué. Ce financement, «à hauteur de plusieurs millions d'euros», facilité par des intermédiaires, a pris la forme, d'après les investigations, de paiements de «taxes» pour permettre la circulation des marchandises et des salariés et d'achats de matières premières dont du pétrole à des fournisseurs proches de l'EI...Il y a un an, le géant des matériaux de construction reconnaissait que des pratiques «inacceptables» avaient été employées pour maintenir l'activité et la sécurité de son usine...Les premières mises en examen ont été prononcées début décembre 2017.

Timeline

Privacy information

This site uses cookies and other web storage technologies. You can set your privacy choices below. Changes will take effect immediately.

For more information on our use of web storage, please refer to our Data Usage and Cookies Policy

Strictly necessary storage

ON
OFF

Necessary storage enables core site functionality. This site cannot function without it, so it can only be disabled by changing settings in your browser.

Analytics cookie

ON
OFF

When you access our website we use Google Analytics to collect information on your visit. Accepting this cookie will allow us to understand more details about your journey, and improve how we surface information. All analytics information is anonymous and we do not use it to identify you. Google provides a Google Analytics opt-out add on for all popular browsers.

Promotional cookies

ON
OFF

We share news and updates on business and human rights through third party platforms, including social media and search engines. These cookies help us to understand the performance of these promotions.

Your privacy choices for this site

This site uses cookies and other web storage technologies to enhance your experience beyond necessary core functionality.