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Artículo

21 Mar 2021

Autor:
Loïcia Martial, RFI

Présidentielle au Congo-Brazzaville : le dépouillement du vote organisé sans internet

« Nous n’avons eu que trois délégués sur sept ; du candidat de la majorité présidentielle, du parti de Kolélas et de Kignoumbi Kia Mboungou. En tout cas, ils n’étaient que trois sur sept », a déclaré un responsable de bureau sous couvert d’anonymat...

Comme en 2016 le vote a été marqué par la coupure d’internet compliquant la tâche aux journalistes et même aux observateurs. L’Union africaine en a déployé une vingtaine au lieu de 60, en raison du coronavirus...

L'accès à internet, mais également aux SMS a été coupé dans la nuit de samedi à dimanche en amont du vote. Les autorités congolaises nient en être à l'origine. « Le gouvernement a l'habitude d'assumer ses actes. S'il avait décidé d'une coupure, il l'aurait fait à ciel ouvert et n'a aucun commentaire à faire sur d'éventuelles perturbations du réseau », a assuré...le porte-parole du gouvernement Thierry Moungalla.

L'ONG Internet sans frontières qui a constaté « une chute brutale du volume de données échangées sur le réseau congolais » à minuit samedi soir, « condamne fermement » cette coupure. Pour l’ONG, cela porte atteinte non seulement à la transparence du vote mais aussi la confiance des électeurs dans le processus, et ouvre donc la voix à des contestations.

[Selon Adbelkrim Yacoud Koundoungoumi, directeur Afrique d’Internet sans frontières]..."Cela laisse présager des pratiques non démocratiques et des intentions floues sur le processus électoral. Ça provoque un sentiment de tripatouillage, de vol et de non transparence des élections".

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