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En marge de la 27e Conférence des parties des Nations unies sur le climat (COP27) qui se tient à Charm-el Cheikh en Égypte, la Fondation Bill & Melinda Gates promet 1,4 milliard de dollars pour la résilience climatique des petits exploitants agricoles en Afrique. Ce financement axé sur le développement de solutions numériques contribuera à la mise en œuvre du deuxième objectif du développement durable (ODD2) qui préconise l’élimination de la faim à travers la promotion de l’agriculture durable.
u sein de la Caravane Africaine pour le climat, 375 organisations se sont unies pour recueillir les demandes des citoyens à travers 28 pays du continent. Leurs objectifs : faire écho aux préoccupations des personnes qui souffrent déjà du dérèglement climatique, alerter les décideurs réunis pour la COP27 et mettre en place des solutions concrètes. les précisions de Sena Alouka, coordinateur de cette initiative inédite et fondateur du mouvement des Jeunes volontaires pour l'environnement.
Parmi les instruments promus pour la lutte contre le changement climatique : les crédits carbone, une sorte d'unité correspondant à une tonne de CO2 non émis dans l'atmosphère. Les projets verts se voient attribuer des crédits monnayables par les États ou les entreprises, et sont censés inciter au financement des projets dits verts. Les crédits carbone font pourtant l’objet de critiques, souvent comparés à un « droit à polluer », car les pollueurs peuvent en acheter pour compenser leurs émissions. Ce qui ne décourage pas certains États à se lancer dans cette aventure, dernier en date, le Gabon.
En marge de la COP27 qui se déroule à Charm el-Cheikh, les pays africains veulent signer des partenariats avec les pays riches pour financer leurs projets de transition écologique. C’est le cas de l’Egypte qui va construire un parc éolien de 10 GW en collaboration avec les Emirats arabes unis.
A l’heure où les effets du réchauffement climatique sont de plus en plus perceptibles dans diverses zones du monde, les principaux contributeurs au phénomène sont appelés à repenser leur mode de fonctionnement. Parmi ceux-ci figure l’agriculture, principale locomotive de la déforestation mondiale.
Plus de 140 chefs d’État et de gouvernement sont réunis à Charm-el-Cheikh pour tenter de relancer l’action contre le réchauffement climatique. Ce 7 novembre 2022, les dirigeants africains ont appelé les pays responsables des émissions historiques, les pays riches, à assumer leurs responsabilités en versant les financements promis aux pays pauvres. D’autant plus que ces pays rendent d’immenses services climatiques, notamment grâce à leurs forêts.
Eva Peace Mukyiranga est négociatrice junior de la Convention-Cadre. Cette Rwandaise travaille au sein de la délégation africaine depuis, comme spécialiste finance. Elle a par ailleurs cofondé la Coalition de la jeunesse pour les « pertes et dommages » (LDYC), ces dégâts causés par le réchauffement. Nous l'avons rencontrée à Charm el-Cheikh où elle participe à la COP27 au sein de sa délégation.
À la tribune de la COP27, à Charm el-Cheikh en Égypte, Emmanuel Macron a prononcé lundi 7 novembre un discours qui se voulait très mobilisateur en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique. Le président français a appelé à maintenir les objectifs, à ne pas faire du climat « une variable d’ajustement » de la guerre en Ukraine, et a plaidé pour que les pays riches remplissent leurs engagements financiers.
La COP27 s’est ouverte dimanche à Charm el-Cheikh en Égypte, alors que les évènements climatiques violents se multiplient à travers la planète : sécheresse et inondations en Afrique, canicules et incendies à répétition en Europe... L’objectif de ce rendez-vous planétaire, qui rassemble 200 pays, est donc de donner un nouveau souffle à la lutte contre le réchauffement climatique et ses impacts. Durant cette COP africaine, les pays du Sud et en particulier ceux du continent vont réclamer des dédommagements financiers pour faire face aux catastrophes. Entretien avec Tanguy Gahouma, négociateur principal pour le Gabon à Charm el-Cheikh, ancien négociateur en chef du groupe Afrique à la COP26 de Glasgow l’an passé.
La 27e Conférence des Parties (COP) s’est ouverte lundi 7 novembre à Charm el-Cheikh (Égypte). Cette 5e COP « africaine » se tient dans un contexte international peu propice pour progresser sur le chemin de la lutte contre le réchauffement climatique, qui fait sentir ses effets de plus en plus fréquemment partout dans le monde. Tous les soirs, Un jour à la COP livre un condensé de ce qui s’est dit et noué durant la journée, et part à la rencontre de quelques-uns de ses acteurs. Ces deux premiers jours sont réservés au sommet des chefs d’État.
La conférence de l'ONU sur le climat s'est ouverte dimanche 6 novembre à Charm el-Cheikh en Egypte. Ce dimanche a été décidé d’inscrire officiellement la question du financement des dégâts causés par les catastrophes climatiques. Plus que jamais, la question financière sera au cœur des discours des chefs d’États et de gouvernement, cet après-midi. Une centaine a fait le déplacement, ceux du Sud sont attendus en force.
Dès l'aéroport, le jeune militant ougandais Nyombi Morris a déchanté. Parler aux dirigeants, manifester, porter la voix de l'Afrique à la COP27... Tous ses projets se sont fracassés sur des mesures de sécurité qui alarment les défenseurs des droits humains.
La 27e Conférence Climat s’est officiellement ouverte, ce dimanche 6 novembre, alors que le sommet des chefs d’État se tiendra lundi et mardi. L’ordre du jour était essentiellement technique puisqu’il s’agissait de définir les points qui seront abordés dans les négociations. Très attendue par les pays vulnérables, la question de l’indemnisation des dégâts causés par les catastrophes climatiques sera bien à l’agenda officiel, pour la première fois.
Plus de 120 chefs d'Etat et de gouvernement sont attendus lundi et mardi pour un sommet censé donner une impulsion à ces deux semaines de négociations.
Cheval de bataille historique des pays les plus vulnérables au changement climatique, la question des compensations financières pour les dégâts causés pourrait s’imposer pour la première fois à l’agenda officiel de la COP27, qui se tient à Charm el-Cheikh (Égypte) du 6 au 18 novembre. De quoi s'agit-il ? Suite et fin de notre décryptage.
Cheval de bataille historique des pays les plus vulnérables au changement climatique, la question des compensations financières pour les dégâts causés pourrait s’imposer pour la première fois à l’agenda officiel de la COP27, qui se tient à Charm el-Cheikh (Égypte) du 6 au 18 novembre. De quoi s’agit-il ?
"Les militants de l’urgence climatique ne comprennent pas que l’Égypte, pays d’accueil de la prochaine conférence des Nations unies sur le climat, ait choisi comme parrain de l’événement le plus gros pollueur plastique au monde".
"Une vingtaine d’ONG internationales, dont Notre Affaire à tous en France, menacent de saisir les tribunaux pour dénoncer « l'inaction climatique » de certains gouvernements à l’aube de la COP27 de novembre prochain à Charm el-Cheikh, en Égypte".
Le gouvernement égyptien a eu récemment des discussions avec une société grecque pour évoquer la mise en place d’un câble électrique sous-marin qui transporterait l’énergie renouvelable produite en Egypte vers l’Europe. Une initiative qui témoigne des ambitions énergétiques du pays.