abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb
Article

21 Oct 2020

Auteur:
Le Monde avec AFP et Reuters

En Ouganda et Tanzanie, les projets de Total touchent des « dizaines de milliers de personnes » ; avec les commentaires de l'entreprise

"En Ouganda et Tanzanie, les projets de Total touchent des « dizaines de milliers de personnes »", 21 octobre 2020.

Les associations françaises Amis de la Terre France et Survie publient, mardi 20 octobre, un rapport intitulé Un cauchemar nommé Total...les organiations non gouvernementales (ONG) dénoncent le projet Tilenga...et le projet de construction de construire l’East Africa Crude Oil Pipeline...le plus long oléoduc chauffé au monde, qui traversera l’Ouganda et la Tanzanie.

Ces deux projets pétroliers de Total entraînent des violations des droits de plus de 100 000 personnes en Ouganda et en Tanzanie, accusent les ONG, qui ont mené une enquête de terrain entre juin et septembre...

Ce rapport, qui est publié avant une audience en appel prévue le 28 octobre, précise que « la problématique d’accaparement des terres est au centre des violations subies par les communautés affectées »...

Dans un communiqué publié mardi soir, Total déclare que le projet Tilenga en Ouganda a été conçu « avec le souci primordial de minimiser et d’atténuer les impacts sur les communautés locales ». « Aucune personne n’a eu à quitter sa terre avant de recevoir une compensation appropriée pour les terres comme pour les cultures », soutient le groupe, qui précise discuter avec les autorités ougandaises d’un « système de paiement intérimaire pour prendre en compte le temps écoulé entre les évaluations et le versement effectif des indemnisations avant le transfert de possession des terrains concernés ».

Total « récuse à nouveau les accusations d’atteintes aux droits humains et réaffirme qu’il ne tolère ni ne contribue à aucune agression, menace physique ou juridique, contre ceux qui exercent leur droit à la liberté d’expression, à manifester et se réunir pacifiquement, y compris lorsqu’ils agissent en tant que défenseurs des droits humains ».

Chronologie