abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb

Le contenu est également disponible dans les langues suivantes: English

Article

2 Déc 2024

Auteur:
Daniel Wiessner, Reuters,
Auteur:
// Frandroid

Etats-Unis : Un employé dépose plainte contre Apple pour surveillance abusive de ses salariés

"Apple accusé d’espionner ses propres employés", 3 décembre 2024

... Employé par Apple aux États-Unis, [Amar Bhakta] ce responsable de la publicité en ligne a déposé une plainte contre sa propre entreprise, révèle le média Semafor. Dans l’exposé des motifs, on peut lire que Amar Bhakta reproche à la firme « d’employer des moyens de surveillance physique et électronique » à l’égard de ses employés, même au-delà des heures de bureau ou après avoir rompu leur contrat de travail avec la pomme.

D’après le plaignant...pour des raisons de sécurité des données, la firme demande aussi à ces mêmes employés de lier leur compte iCloud au système de traitement de flotte de la société. Un système qui permet à Apple de « consulter toutes les données stockées sur l’appareil », même celle dépassant du cadre professionnel.

...[L]a plainte avance même le fait qu’Apple aurait le droit de fouiller dans « les appareils Apple et non Apple » de ses employés, tant que ces derniers sont « sur leurs lieux de travail »...

...En octobre 2024, l’entreprise était déjà épinglée pour violation de droit du travail par le gouvernement fédéral américain. Sur la question de l’espionnage de ses salariés, Apple se défend en arguant que « chaque employé a le droit de discuter de son salaire, de ses horaires et de ses conditions de travail » et affirme ne « pas être en accord avec ces affirmations infondées ».