abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb

Le contenu est également disponible dans les langues suivantes: English

Article

16 Jui 2023

Auteur:
Emiliano Tossou, AgenceEcofin (Africa)

Ghana: Le gouvernement décide d'accroitre sa participation á la chaine de valeur des ressources minerales essentielles

" Le Ghana n’exportera pas son lithium sous forme brute (ministre des Mines)"

16 Juin 2023

[...]

Le Ghana n’est pas le premier pays africain riche en lithium décidé à accroitre sa participation à la chaîne de valeur des ressources minières. La Namibie a annoncé début juin l’interdiction de l’exportation à l’état brut de métaux critiques comme le graphite, les terres rares ou le lithium, alors que le Zimbabwe, seul producteur africain de lithium, envisage de taxer les exportations de concentré de lithium pour stimuler une industrie locale de transformation.

Réduits pendant des décennies au simple statut de fournisseur de matières premières, plusieurs pays miniers africains entendent en effet profiter de la transition énergétique pour produire localement des produits utilisés dans les batteries et véhicules électriques. Il faut dire qu’il s’agit d’un impératif, puisqu’un récent rapport de la BAD estime que l’Afrique, limitée à l'exportation de minéraux bruts, ne devrait récupérer que 55 milliards de dollars sur un marché des batteries et véhicules électriques estimé à 8 800 milliards de dollars, d’ici 2025.

Chronologie