Réponse de Bolloré
...[L]e Groupe Bolloré...rappelle qu’il n’est qu’un actionnaire du Groupe Socfin...Il ne peut donc pas être directement tenu pour responsable des actions ou des décisions prises par Socfin. Cependant, le Groupe Bolloré exerce son devoir de vigilance...[Il] a organisé une réunion en octobre 2014, avec les représentants des riverains des plantations (dont notamment Shiaka Sama de Sierra Leone et Neth Prak du Cambodge). Les représentants ont été reçus à Paris où le Groupe, en tant que médiateur, a recueilli leurs revendications et les a ensuite transmises à Socfin pour suivi...Le groupe Socfin, créé il y a un siècle, affirme qu’aucune des critiques n’est avérée. Le Groupe Bolloré a toute raison de croire à ces réponses et maintenir son investissement qui permet beaucoup de créations d’emplois et améliore la possibilité pour les populations locales de se nourrir au meilleur prix tout en bénéficiant de services sociaux...Le Groupe Bolloré rappelle qu’il est régulièrement noté par des agences sur sa performance extra financière, et que sa notation s’améliore. Qu’il lui soit fait crédit de l’existant et de sa volonté de progresser. Quant à la question soulevée par certains médias à propos du procès Bastamag, à savoir « est-il encore permis d’informer sur les activités du Groupe Bolloré ? », le Groupe répond : Informer est un droit, diffamer est une infraction.