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Article

13 Mar 2018

Auteur:
Libération

France : Des personnalités du monde associatif, culturel et politique critiquent la condamnation de militant-es de Greenpeace pour leur entrée dans la centrale nucléaire de Cattenom

« Tribune : la place des militant-es de Greenpeace n'est pas en prison », 6 mars 2018

Cette semaine, six militant·e·s de Greenpeace ont été condamnés à cinq mois de prison avec sursis. Deux autres militant·e·s ont été condamnés à deux mois de prison ferme...Il leur était reproché d'être entrés, en octobre dernier, dans la centrale nucléaire de Cattenom et d’avoir déclenché un feu d’artifice devant le bâtiment abritant la piscine de combustible usé...

La place de militant·e·s écologistes qui ont à cœur de protéger notre environnement n’est certainement pas en prison...Pourtant, qu’ils dénoncent le risque nucléaire, l’évasion fiscale, leurs conditions de travail ou les conditions d’accueil des migrants, les lanceurs d’alerte sont systématiquement poursuivis en justice et très souvent condamnés à des peines disproportionnées.

Les lanceurs et lanceuses d’alerte agissent au nom de l’intérêt général et du bien commun...C’est ce qui les distingue des criminels de droit commun et devrait leur valoir un traitement différent dans les tribunaux.