abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb
Article

30 Nov 2017

Auteur:
Guillaume Gendron, Libération (France)

Israel : 400 personnalités appellent à la publication d'une «liste noire» des entreprises opérant dans les Territoires palestiniens occupés

« 400 personnalités israéliennes veulent une «liste noire» des entreprises opérant dans les Territoires occupés », 30 novembre 2017

 ...400 personnalités israéliennes, dont plusieurs figures emblématiques du camp de la paix, appellent le Haut-Conseil des droits de l’homme (HCDH) de l’ONU à la divulgation d’une liste des entreprises opérant dans les Territoires occupés, que l’agence a compilée mais n’a pas rendu publique. Cette «liste noire» fait l’objet depuis presque un an d’un intense bras de fer entre l’Etat hébreu et l’organe onusien. 

... D’après Zeid Ra’ad Al Hussein, 150 compagnies israéliennes et internationales seraient concernées par cette opération de «name and shame». 

...La résolution 2 334 de l’ONU, cité par les pétitionnaires, appelle les entreprises commerciales à «faire une distinction, dans leurs échanges en la matière, entre le territoire de l’Etat d’Israël et les territoires occupés depuis 1967». Pour ces derniers, la publication de cette «liste noire» – sur laquelle pourraient se trouver des entreprises telle que Coca-Cola, Motorola ou Teva selon les médias israéliens – représenterait «un moyen de pression international pour faire cesser les transactions de ce type».