abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb
Article

27 Jui 2017

Auteur:
RFI

Rép. dém. du Congo: Face à des difficultés financières, les autorités demandent aux entreprises minières de rapatrier 40% de leurs recettes d'exportation

"RDC: les sociétés minières priées de rapatrier 40% des recettes des exportations", 26 juin2017

Les entreprises minières étrangères sont sommées de rapatrier 40% des recettes issues des exportations pour combler le manque de devises. Le ministre d'Etat en charge de l'Economie décide ainsi de faire appliquer une disposition de la législation congolaise longtemps ignorée. Joseph Kapika, le ministre d'Etat en charge de l'Economie, l'a rappelé...: cette disposition de la législation congolaise a été jusqu'ici ignorée par les entreprises minières étrangères...Joseph Kapika a expliqué que la RDC connaissait pour cette raison une pénurie des devises étrangères. Il n'y en a pas assez dans les banques. Et les importateurs, à l'exemple de ceux des vivres frais, ont du mal à s'approvisionner. La rareté commence alors à se faire sentir sur le marché. Et c'est certainement cette pénurie des devises étrangères qui est à la base de la chute continue du franc congolais. Le dollar américain s'échange désormais à un peu plus de 1 500 francs congolais contre 950 il y a quelques mois. Dans cet environnement, les grèves et les menaces de grève sont observées dans plusieurs entreprises tant publiques que privées. Les employés et les fonctionnaires revendiquent le réajustement des salaires.