abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb

このページは 日本語 では利用できません。French で表示されています

記事

2024年3月17日

著者:
SudOuest (France) avec AFP

France Industrie vent debout contre la directive européenne sur le « devoir de vigilance »

France Industrie, principal lobby de l’industrie en France, a appelé dimanche les parlementaires européens à ne pas adopter la directive sur le « devoir de vigilance » qui imposerait aux entreprises de corriger les atteintes à l’environnement et aux droits humains dans leurs chaînes de production. « Le texte soumis aux parlementaires européens fait courir des risques concurrentiels, commerciaux et contentieux délétères pour l’industrie », dénonce l’organisation représentative dans son communiqué.

D’après le président de France Industrie, Alexandre Saubot, ce texte « fait preuve de dogmatisme ». S’il était adopté, « il dégraderait la compétitivité de l’industrie européenne en faisant peser sur celle-ci des obligations bien plus sévères que celles concernant les entreprises des pays tiers », prévient-il. Vendredi, les Vingt-sept ont validé une législation imposant aux entreprises de l’Union européenne des obligations de protection de l’environnement et des droits humains dans leurs chaînes de production à l’échelle mondiale.

Elle prévoit que les entreprises concernées soient juridiquement responsables des violations de droits humains et sociaux (travail des enfants, travail forcé, sécurité…) et dommages environnementaux (déforestation, pollution…), y compris pour leurs fournisseurs et filiales. Le texte ne concerne que les entreprises de plus de 1 000 salariés avec un chiffre d’affaires d’au moins 450 millions d’euros - alors que la limite avait été initialement fixée à 250 employés et un chiffre d’affaires dépassant les 40 millions d’euros.

Environ 5 400 entreprises seraient donc concernées, contre 16 000 avec les seuils initiaux...

Les industriels allemands, réunis au sein de BDI, ont eux aussi dénoncé vendredi « un nouveau revers pour la compétitivité de l’Europe », « de nouveaux obstacles à la sécurité d’approvisionnement » et « d’énormes fardeaux bureaucratiques » qui pourraient « obliger les entreprises à se retirer de pays tiers importants ».

タイムライン

プライバシー情報

このサイトでは、クッキーやその他のウェブストレージ技術を使用しています。お客様は、以下の方法でプライバシーに関する選択肢を設定することができます。変更は直ちに反映されます。

ウェブストレージの使用についての詳細は、当社の データ使用およびクッキーに関するポリシーをご覧ください

Strictly necessary storage

ON
OFF

Necessary storage enables core site functionality. This site cannot function without it, so it can only be disabled by changing settings in your browser.

クッキーのアナリティクス

ON
OFF

When you access our website we use Google Analytics to collect information on your visit. Accepting this cookie will allow us to understand more details about your journey, and improve how we surface information. All analytics information is anonymous and we do not use it to identify you. Google provides a Google Analytics opt-out add on for all popular browsers.

Promotional cookies

ON
OFF

We share news and updates on business and human rights through third party platforms, including social media and search engines. These cookies help us to understand the performance of these promotions.

本サイトにおけるお客様のプライバシーに関する選択

このサイトでは、必要なコア機能を超えてお客様の利便性を高めるために、クッキーやその他のウェブストレージ技術を使用しています。