abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb

このページは 日本語 では利用できません。French で表示されています

記事

2020年9月22日

著者:
Alice Vitard, L'Usine Digitale

Idemia accusé d'avoir vendu un système de reconnaissance faciale à la police chinoise

« Le Français Idemia accusé d'avoir vendu un système de reconnaissance faciale à la police chinoise », 21 septembre 2020.

Amnesty International accuse des entreprises européennes d'avoir exporté leurs technologies de reconnaissance faciale en Chine, dans un rapport publié le 21 septembre.

L'ONG cite notamment l'entreprise française Idemia, spécialisée dans l'identité numérique, qui a vendu en 2015 un système permettant de détecter et de reconnaître des visages sur une bande vidéo au Bureau de sécurité publique de Shanghai, dont les missions s'apparentent à celles d'un poste de police local..."l'utilisateur final est situé dans un pays où les droits de l'Homme ne sont pas garantis", insiste l'association. Ainsi, elle exhorte les entreprises à ne pas vendre des technologies de reconnaissance faciale aux autorités chargées de l'application des lois.

...Idemia – issu d'un rapprochement entre Safran et Oberthur Technologies – confirme au Monde que le système était destiné à des bandes-vidéo préalablement enregistrées et ne pouvait "être utilisé pour une surveillance en temps réel". De plus, à sa connaissance, "le système n’a jamais été déployé", explique le porte-parole.

Mais ces arguments n'ont pas convaincus Amnesty International...

Ce rapport est publié la veille d'une réunion au sommet de l'UE entre le Parlement européen et les Etats membres sur la reconnaissance faciale. Jusqu'ici, la Commission européenne n'avait pas une position très claire sur cette question. Dans un livre blanc dont le contenu avait été révélé début janvier 2020, l'exécutif européen annonçait son intention d'interdire la reconnaissance faciale dans les lieux publics pendant une durée allant de trois à cinq ans, le temps de trouver des gardes fous. Le 30 janvier 2020, elle changeait totalement d'avis et abandonnait son idée.

タイムライン

プライバシー情報

このサイトでは、クッキーやその他のウェブストレージ技術を使用しています。お客様は、以下の方法でプライバシーに関する選択肢を設定することができます。変更は直ちに反映されます。

ウェブストレージの使用についての詳細は、当社の データ使用およびクッキーに関するポリシーをご覧ください

Strictly necessary storage

ON
OFF

Necessary storage enables core site functionality. This site cannot function without it, so it can only be disabled by changing settings in your browser.

クッキーのアナリティクス

ON
OFF

When you access our website we use Google Analytics to collect information on your visit. Accepting this cookie will allow us to understand more details about your journey, and improve how we surface information. All analytics information is anonymous and we do not use it to identify you. Google provides a Google Analytics opt-out add on for all popular browsers.

Promotional cookies

ON
OFF

We share news and updates on business and human rights through third party platforms, including social media and search engines. These cookies help us to understand the performance of these promotions.

本サイトにおけるお客様のプライバシーに関する選択

このサイトでは、必要なコア機能を超えてお客様の利便性を高めるために、クッキーやその他のウェブストレージ技術を使用しています。