Réponse de Socfin
La Haute Cour de Sierra Leone a rendu justice en faveur de la Socfin Agricultural Company (Groupe
Socfin) pour des exactions commises, depuis 2013, par six personnes (dégradation de palmiers) dans sa plantation. Il est regrettable que certaines organisations en déduisent un manque d’indépendance de la part des institutions judiciaires sierra léonaises, qui par leur action quotidienne, participent au développement de leur pays...[E]n 2009, le Ministre de l’Agriculture du Sierra Leone après une visite de la plantation de LAC (Socfin) au Libéria, décide de faire appel au Groupe Socfin pour développer un projet dans son pays...S’engage alors un processus de concertation ascendante avec l’ensemble des parties prenantes...C’est alors qu’une majorité de planteurs villageois prennent la décision de participer au projet de SAC, alors que d’autres s’abstiennent...Par conséquent, ces actions symboliques (exactions), encadrées par des associations extérieures sont de nature à fragiliser les relations construites au fil du temps localement. A plusieurs reprises, des soi-disant « associations représentantes des riverains » se sont avérées ne pas représenter ni légalement ni légitimement les populations riveraines des plantations et sont parfois même au service d’intérêts personnels...