abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb

이 페이지는 한국어로 제공되지 않으며 French로 표시됩니다.

기사

2018년 1월 24일

저자:
La Libre Afrique

Afrique: quand Bolloré veut le silence sur ses activités

Des journalistes et ONG ont dénoncé mercredi dans une tribune les poursuites systématiques dont ils font l’objet quand ils s’intéressent aux activités du groupe Bolloré, notamment en Afrique. Le groupe a quinze procédures en cours, engagées en France et à l’étranger contre des journalistes ou ONG pour « diffamation » ou « dénigrement », selon les signataires de cette tribune, qui devancent l’ouverture d’un de ces procès jeudi à Paris.

...Le procès qui s’ouvre... à Paris oppose des journalistes et ONG à la Socfin, holding luxembourgeoise propriétaire de plantations en Afrique et en Asie dont le groupe Bolloré détient près de 40%. La Socfin attaque en diffamation les ONG ReAct et Sherpa ainsi que Le Point, Mediapart et L’Obs, qui avaient fait état, en avril 2015, de vols de terres aux riverains de ces plantations de palmiers à huile et d’hévéas. Sa filiale Socapalm attaque pour sa part les deux ONG.

...Sur une vingtaine de procédures lancées par le groupe ces dernières années, seules deux condamnations ont été prononcées, contre Libération pour la légende d’une photo et France Inter pour un reportage

다음 타임라인의 일부

France : Ouverture du procès en diffamation contre 3 journaux et 2 ONGs par Socfin et sa filiale, toutes deux liées au groupe Bolloré

Socfin & Socapalm lawsuit (re defamation by NGOs & media outlets, France)